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- J'ai besoin de savoir pourquoi tu es autant jaloux de lui.
- J'en sais rien, c'est comme ça.
- Martin. Dis-moi.
- Je suis jaloux, c'est tout.
- Alors ça rime à quoi ce que l'on fait ? Moi je suis jalouse d'elle, et toi tu es jaloux de lui. C'est quoi notre jeu ? A quoi on joue ?
- On joue pas, du moins on essaie. On est simplement attaché l'un à l'autre.
- Ne te fou pas de ma gueule s'il te plaît. Regardes nous, on se bouffe le nez parce que ...
- Parce que quoi ?
- Parce qu'on s'aime et qu'on veut pas se l'avouer merde !#MelL
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"J'ai failli être écœurée,
De voir autant de blessures
Mener aux tristes coupures
Des couples trop déchirés.
Un jour tu as débarqué,
Étincelles dans nos regards
Cruel de fuir tes yeux noirs
Qui m'ont bien fait chavirer.
Tu t'es métamorphosé
Lorsque tu as découvert
Que tu pouvais me plaire.
C'était donc une tâche aisée.
Tu es mon être bien-aimé.
Je pourrais t'attendre longtemps,
Si jamais tu es trop lent
Pour enfin te décider.
Je ne pourrais t'oublier
A t'aimer abusivement."#MelL
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Qui a dit que le bonheur se définissait par l’amour ? Ne peut-on pas être heureux en ayant le cœur brisé ? Car beaucoup de remède semble marcher, surtout le temps qui finit par faire oublier, que rien n’est pour toujours. Oui, toutes les blessures guérissent un jour. C’est quand on regarde derrière soi, un sourire aux lèvres, une dernière fois, on repense à ce temps-là, et on ne pleure plus. On relève la tête et on avance avec les personnes qui sont à nos côtés. Le genre de personne qui nous font rire à en pleurer. Qui par leur simple présence, nous rendent heureux. Et même si ce ne sont pas toujours les mêmes, on apprend à apprécier le changement, et vivre avec. Vivre le temps présent, sans se soucier du futur, rencontrer des gens exceptionnels, avoir des souvenirs gravés à jamais dans nos mémoires. Oublier le temps d’un instant, que tout peut nous échapper. Alo
<=== LA MUSIQUE AVECrs vivre, rêver, et profiter. Ressentir, non plus ces abeilles tueuses comme quant on est amoureuse, mais ces papillons avec cette incroyable sensation. Tu sais la sensation d’être heureuse. D'être avec les bonnes personnes aux bons moments. Et puis surtout, cette joie qui t’envahit quand tu entends leurs rires sonnant comme une mélodie. Tes yeux brillant rien quand les voyant avec, sur tes lèvres, ce sourire niais apparaissant. C’est ça le bonheur, l’instant présent.
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- Pourquoi je suis comme ça maman ? Pourquoi je ne suis pas comme toi, comme papa ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal pour avoir ça ?
- Rien ma puce, rien du tout.
- Mais c’est de ma faute hein ? Si tu pleures des fois le soir je suis désolé maman, je ne veux pas te faire pleurer, je n’aime pas quand tu pleures…
- Ce n’est pas de ta faute mon cœur, ce sont les épreuves de la vie, c’est tout.
- Alors je lui ai fait quoi moi à la vie pour qu’elle me punisse ?
- Elle ne te punit pas, elle admire ta force à tout surmonter.
- Pourquoi ? Je n’ai pas besoin de ça pour lui montrer. Dis-lui maman, dit lui que je ferais des efforts, je t’aiderais c’est promis. Mais dit à la vie de me rendre comme toi et papa et qu’elle peut reprendre ses trucs là sur mes oreilles. Tu lui diras hein maman ? Pour qu’elle reprenne tout demain ?
- …
- Maman pourquoi tu pleures ? C’est de ma faute encore ? C’est moi hein ? C’est toujours et encore moi… Je suis désolé maman, je suis tellement désolé…
- Chut, rien n’est de ta faute ma puce, c’est la faute à la vie, elle n’est pas toujours très gentille.
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« - J’enchaîne les convulsions, les coups de pressions. Le défibrillateur passe pour la troisième fois sur ma poitrine aujourd’hui. Je me sens tranquillement m’évader. Les perfusions deviennent une réelle souffrance, mon âme crie sa douleur à outrance. Il me semble que c’est la fin, ma petite fille. Je ne pensais pas que mon départ ce ferais de cette manière, et encore moins ici, dans ce lit.
Cette immonde chemise de nuit me colle à la peau, ça me gratte, je ne supporte plus cette matière ingrate.
Je ne veux plus de ce masque pour respirer, je veux qu’on me laisse mourir seul. Je sais que j’en suis incapable, je sais que je suis dépendant de cet appareil à présent. Mais regardes moi ? Je ne dors plus, je ne mange plus, regardes moi ma puce, j’ai déjà arrêté de vivre.
Je ne veux plus te voir pleurer, attrapes ma main, serres moi fort, et dit moi au revoir avec ton cœur. Ne pleures pas ma jolie, on se retrouvera. Si je choisis de mourir ici, c’est pour mieux te retrouver demain. On se retrouvera, tu verras mon ange. Je … je …
*Bip bip bip*
-Papy …. »#MeLL
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